La dépêche ci-dessous mérite d'être notée, car elle nous offre les taux de crémation en France ainsi que les efforts faits dans une région particulière du pays où la crémation répond à un besoin d'une partie de plus en importante de la population pour exprimer son deuil*.
Le 12 octobre 2008, «l'Association gersoise de crémation s'est réunie à la salle du Mouzon à Auch. Les crématistes du département ont pu faire un point sur la situation dans le Gers. Pour eux, la création d'un crématorium à Auch va devenir une chose indispensable.
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Selon Guy Fueyo, président de l'association, 26 % des rites funéraires sont des crémations en France et d'ici 2020, ce chiffre devrait monter jusqu'à 40 % minimum. Dans le Gers, le pourcentage de crémation est aujourd'hui de 15 % et il est en augmentation. C'est dans ce cadre que l'association a fait l'état des lieux de leur projet puisqu'à l'heure actuelle, il n'y a pas de crématorium dans le département.
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Même s'il ne veut pas encore parler d'un endroit concret, le président a quelques envies sur l'emplacement : « Il faut quelque chose de beau, visible et bien situé, c'est simplement de la correction envers les familles en deuil qui ont besoin d'être aidées.
Si jamais le projet était accepté, un crématorium pourrait voir le jour au plus tôt en 2011. »
(Florian Moutafian, «Auch: " Il faut un crématorium" », Ladepeche.fr., 13/10/2008)
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Selon Guy Fueyo, président de l'association, 26 % des rites funéraires sont des crémations en France et d'ici 2020, ce chiffre devrait monter jusqu'à 40 % minimum. Dans le Gers, le pourcentage de crémation est aujourd'hui de 15 % et il est en augmentation. C'est dans ce cadre que l'association a fait l'état des lieux de leur projet puisqu'à l'heure actuelle, il n'y a pas de crématorium dans le département.
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Même s'il ne veut pas encore parler d'un endroit concret, le président a quelques envies sur l'emplacement : « Il faut quelque chose de beau, visible et bien situé, c'est simplement de la correction envers les familles en deuil qui ont besoin d'être aidées.
Si jamais le projet était accepté, un crématorium pourrait voir le jour au plus tôt en 2011. »
(Florian Moutafian, «Auch: " Il faut un crématorium" », Ladepeche.fr., 13/10/2008)