Répertoire de sites sur le terrorisme

Josette Lanteigne
Jean Baudrillard, «L'esprit du terrorisme», Le Monde interactif, 2 nov. 2001. Du même auteur, entretien sur la mondialisation.
Présentation:
La réaction immense provoquée par l'attaque terroriste du 11 septembre ne doit pas nous faire oublier la satisfaction – le mot n'est pas trop fort – éprouvée par une majorité de gens, qui ont plus ou moins secrètement approuvé cette gifle à la puissance américaine.
Extrait:
«Tous les discours et les commentaires trahissent une gigantesque abréaction à l'événement même et à la fascination qu'il exerce. La condamnation morale, l'union sacrée contre le terrorisme sont à la mesure de la jubilation prodigieuse de voir détruire cette superpuissance mondiale, mieux, de la voir en quelque sorte se détruire elle-même, se suicider en beauté. Car c'est elle qui, de par son insupportable puissance, a fomenté toute cette violence infuse de par le monde, et donc cette imagination terroriste (sans le savoir) qui nous habite tous.»
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3232--239354-,00.html

Umberto Eco, «À propos de la "supériorité" occidentale», Le Monde interactif, 9 nov. 2001.
Présentation:
La question de la prétendue supériorité de l'Occident ne se règle pas sur le plan de l'histoire car à ce niveau, tous les peuples ont également erré, faisant la guerre ou la provoquant tour à tour. Si l'Occident mérite un certain respect, c'est pour la lucidité qui lui permet de regarder en face ses propres contradictions, comme par exemple celle qui existe entre ses visées humanitaires et la pollution produite dans la recherche et la réalisation de ses buts, ni nobles soient-ils.
Extrait:
«Ne sollicitons pas l'histoire, car c'est une arme à double tranchant. Les Turcs empalaient (et c'est mal), mais les Byzantins orthodoxes crevaient les yeux de leurs parents dangereux et les catholiques brûlaient Giordano Bruno. Les pirates sarrasins n'y allaient pas avec le dos de la cuiller, mais les corsaires de Sa Majesté britannique, forts de leurs lettres de marque, mettaient à feu et à sang les colonies espagnoles dans les Caraïbes. Ben Laden et Saddam Hussein sont des ennemis féroces de la civilisation occidentale, mais à l'intérieur de la civilisation occidentale nous avons eu des messieurs qui s'appelaient Hitler ou Staline.»
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210-6399-229859,00.html

François-Bernard Huyghe, «Pour une théorie du terrorisme», Réflexions stratégiques, nov. 2001.
Présentation:
Le terrorisme mobilise les médias, il recourt à des stratégies de reconnaissance. S'agirait-il d'une forme aberrante de communication?
Extrait:
«Patatras: le Pentagone en a rêvé, Al Qaïda l’a réalisé ! La société en réseaux se trouve confrontée au terrorisme en réseau. Déterritorialisée, faisant aisément circuler capitaux, armes et combattants d’un pays à l’autre, d’un groupe de soutien à un second, capable de se concerter sans doute largement via le web, mais aussi par des réseaux beaucoup plus archaïques ou informels (réseaux tribaux ou familiaux par exemple), n’offrant aucune cible, les atteignant toutes, l’organisation terroriste donne là une leçon de stratégie postmoderne. Ben Laden comprend parfaitement les principes d’économie d’énergie, de dispersion des forces ennemies et de concentration des siennes, d’accroissement de la confusion adverse, de recherche des points d’amplification maximale, etc. À vrai dire, il sait comment utiliser le principe des réseaux pour se protéger et retourner contre nous nos réseaux télévisuels, financiers, électroniques, voire peut-être postaux pour obtenir une contagion optimale.»
http://www.strategic-road.com/pays/pubs/theorie_terrorisme_txt.htm

Jean-François Coderre, «Ousama Ben Laden utilisait un téléphone cellulaire», Multimedium, 2 oct. 2001.
Présentation:
Les technologies de communications personnalisées exposent l'identité de ceux qui ont des visées occultes: on l'a vu avec les réseaux de pornographie, on le voit maintenant avec l'infrastructure terroriste, qui doit elle aussi composer avec les moyens de communication les plus actuels et les plus facilement repérables.
Extrait:
«On s'est toujours imaginé Oussama ben Laden terré à des milliers de kilomètres, dans des pays où les moyens de communication sont limités. Pourtant, pendant quelques années, il a utilisé un téléphone satellitaire, dont on connaît aujourd'hui le numéro, grâce auquel il menait ses affaires. Avec un peu de chance, on pouvait même l'y rejoindre...»
http://www.mmedium.com/cgi-bin/nouvelles.cgi?id=5842

«Ben Laden utiliserait le web pour communiquer», Hacker News Magazine, no 3, juin/juil./août 2001.
Présentation:
Le procès des complices présumés de Ben Laden fait naître de nombreuses interrogations sur l'utilisation de fichiers cryptés sur le Web.
Extrait:
«Ben Laden aurait recours à de puissants moyens de cryptographie pour communiquer avec ses troupes de terroristes. Pour cela, ils utiliseraient notamment des sites de pornographie ou de sport comme couverture et pour s'échanger des messages, par le biais de photos par exemple. Les outils utilisés par Ben Laden seraient si puissants qu'il aurait fallu un an au FBI pour décrypter les messages ! Les terroristes enseigneraient même la cryptographie dans des camps d'entraînement situés au Soudan et en Afghanistan… Pour être plus précis, le réseau Ben Laden utiliserait la stéganographie, une variante de la cryptographie. En effet, de nombreux pays réglementent l'utilisation des logiciels de cryptage (la France notamment), certains vont même jusqu'à la condamner (l'Angleterre). Il existe une alternative: la stéganographie ou l'art de cacher un bout d'information dans un autre. Tous les fichiers informatiques – images, sons, MP3… – contiennent des zones de données non utilisées. La stéganographie consiste à profiter de ces zones d'ombre et à les remplir d'informations. Le summum consiste à remplir ces zones avec des fichiers cryptés. Là, il devient vraiment difficile de trouver le message. D'abord, il faut savoir qu'une image contient autre chose que ce que l'on voit… Ensuite, si par hasard un espion découvre un fichier, ce dernier est codé et il faut une clé pour le lire. Un vrai jeu de pistes qui se transforme en labyrinthe…»
http://www.hacker-mag.com/indexben2.html

Ron Purver, La menace de terrorisme biologique ou chimique, Service canadien du renseignement de sécurité, juin 1995.
Présentation:
L'étude présentée ici est entièrement fondée sur des sources publiées, et comporte une annexe volumineuse sur l'attentat du métro de Tokyo, survenu en mars 1995. On y rappelle que si l'information sur le terrorisme nucléaire est abondante, il existe très peu d'informations, disponibles au public, sur l'utilisation des agents chimiques ou biologiques à des fins terroristes et ce, même si la plupart des spécialistes conviennent que ce genre de terrorisme est beaucoup plus probable que le terrorisme nucléaire. Cette étude porte sur un corpus de textes de «niveau professionnel», produits entre 1975 et 1995, qui permettent d'apporter des réponses à une série de questions intéressantes. On y apprend notamment que la guerre biologique est beaucoup plus abordable que la guerre nucléaire, du point de vue économique comme au niveau des connaissances requises, et qu'il est relativement facile, pour un terroriste, de se procurer les moyens et d'arriver à ses fins, la sécurité dans ce domaine étant facile à contourner. Par ailleurs, le comportement des agents biologiques est dit «imprévisible», et on peut penser que les terroristes ont craint jusqu'ici de les utiliser sans maîtriser leurs effets. Mais la probabilité de leur utilisation serait en hausse.
Extrait:
«Les agents biologiques ne sont pas détectables par les systèmes de détection anti-terroriste classiques. Contrairement aux armes à feu, aux grenades et au plastic, on ne peut les déceler au moyen d'un détecteur de métal, d'un appareil de radiographie, d'un chien détecteur ou d'un détecteur à bombardement neutronique. Ils peuvent très bien être introduits en fraude par les aéroports, aussi facilement que les drogues qui inondent les pays occidentaux. Cet aspect pose aussi des difficultés au point de vue des contre-mesures à mettre en œuvre comme, par exemple, le port de vêtements protecteurs, car il peut être impossible de détecter l'agent rapidement (avant l'apparition des symptômes ou même quelque temps plus tard). En fait, l'un des caractères particulièrement insidieux des armes est qu'il est difficile de déterminer si l'on a affaire à un attentat ou s'il s'agit simplement d'une épidémie naturelle.»
http://www.csis-scrs.gc.ca/fra/miscdocs/tabintrf.html

Fabrice Rousselot, «Sima Wali, la voix des Afghanes silencieuses», Libération, 27 nov. 2001.
Présentation:
Sima Wali, une des trois femmes invitées à la conférence inter-afghane de Bonn, nous rappelle que les femmes afghanes étaient libres dans les années 60.
Extrait:
«Beaucoup d'Occidentaux ne savent pas qu'à la fin des années 60, la femme afghane pouvait faire ce qu'elle voulait. Elle était l'égale de l'homme de par la Constitution. Elle s'habillait comme elle voulait, elle avait le droit de vote, elle pouvait travailler, devenir parlementaire, écouter de la musique. Puis la guerre (contre l'Union soviétique, entre 1979 et 1989) a tout changé. Les femmes sont devenues des veuves, le pays s'est radicalisé, il est tombé aux mains des fondamentalistes, avec l'aide directe de la communauté internationale. Maintenant, il me semble normal que cette dernière aide les Afghanes à retrouver leur dignité et à participer au processus politique et social qui va s'instaurer.»
http://www.liberation.com/ny2001/actu/20011127marj.html

Pierre Foglia, «Le thé chez les talibans», La Presse, 30 oct. 2001.
Présentation:
Le populaire journaliste faisait partie d'une délégation humanitaire ayant visité Mâkaki, un camp de réfugiés afghans à la frontière iranienne.
Extrait:
«Personne n’a dit de connerie sauf moi. Il (le commandant) n’arrêtait pas de nous inviter à le solliciter si jamais on avait besoin de lui, n’importe quand, n’importe où. J’ai dit à Amir (le Dr Amir Khadir de l’hôpital Le Gardeur), demande-lui donc son numéro de cellulaire. Amir a pogné un début de fou rire... Le commandant voulait savoir, Amir lui a répété: Le monsieur qui est là voudrait avoir le numéro de votre cellulaire.
J’ai pas de cellulaire, a sèchement répondu le commandant taliban. Le gouverneur de la province m’a fait des gros yeux noirs. J’ai failli ajouter: C’est pas grave, on s’enverra des cartes postales. Mais bon, ne pas trop chatouiller le taliban sous le turban.
C’est Amir qui a posé la question la plus délicate. Et la plus pertinente. Elle tournait autour de la présence de soldats en armes dans un camp de réfugiés. Elle introduisait l’idée que ces camps pourraient servir de centres de recrutement, ou de base de repli, voire d’infirmerie...
Le commandant s’est défendu, la main sur le cœur, il a juré que cela était contraire aux traditions afghanes. C’est bien possible. L’ennui, c’est que le phénomène taliban a commencé exactement comme ça: par le recrutement de milliers de jeunes Afghans dans les camps de réfugiés de Peshawar et de Quetta, au Pakistan, recrutés et envoyés dans des écoles coraniques où ils ont appris cette version dénaturée de l’islam qui est devenue le talibanisme. Plus tard, ils devaient prendre des cours de pilotage, et c’est là qu’on en est, mon vieux.»
http://www.cyberpresse.ca/reseau/chroniqueurs/pfoglia/pfog_101100030617.html

Travailler en classe sur un événement: les attentats aux États-Unis.
Présentation:
Le Clemi (Centre de Liaison de l'Enseignement et des Moyens d'Information) et le Café pédagogique donnent une foule de liens sur la couverture médiatique du 11 septembre et la manière dont elle a été expliquée aux élèves.
Extrait:
«1991, la guerre du Golfe. La tension ressentie à cette période avait amené Lionel Jospin, ministre français de l'Éducation, à demander aux enseignants de ne pas aborder le sujet en classe pour préserver la neutralité de l'école et éviter les affrontements entre élèves. Bon nombre d'enseignants n'avaient pas suivi la consigne et avaient justement évité les conflits en permettant une expression des élèves et un débat raisonné dans leurs classes. Depuis, les travaux (disponibles sur le site), du psychanalyste Serge Tisseron sur les effets des images de télévision ainsi que les recherches et les pratiques de l'éducation aux médias, ont confirmé que le pire serait justement de demander aux enfants de laisser à la porte de l'école ce qu'il ont vu à la télé.
Septembre 2001, dix ans plus tard, l'exemple a été retenu et Jack Lang demande aux enseignants de "trouver les bonnes attitudes pédagogiques pour que les inquiétudes et les interrogations des élèves puissent s'exprimer et trouver des réponses appropriées."»
http://www.clemi.org/formation/outils/ny1109.html
http://www.cafepedagogique.net/dossiers/index.php3

La guerre au terrorisme
Présentation:
Série de reportages des correspondants de Radio-Canada. Voir par exemple le dossier de Stéphane Bordeleau sur «Les talibans ou le règne de la terreur».
Extrait:
«Profondément meurtrie par vingt années de conflits armés, l'Afghanistan a connu, dans la deuxième moitié des années 1990, un péril peut-être pire encore que la guerre: le règne implacable des talibans. Niant toute convention internationale et ignorant les droits humains les plus élémentaires, les talibans ont maintenu en Afghanistan une dictature religieuse fanatique où hommes, femmes et enfants étaient régulièrement exécutés, mutilés et torturés pour des "crimes" aussi dérisoires que d'avoir fait voler un cerf-volant, porté du maquillage ou regardé la télévision.»
http://src.ca/nouvelles/actualite/attentat/terrorisme/index.html

Diaporama du mardi 11 septembre 2001.
http://dossiers.lesoir.be/wtc/touslesarticles/diaporama.asp

Dominique Boivert, «Et si la réponse n'était pas dans les représailles?», Culture et foi, 23 oct. 2001.
Présentation:
On peut tirer de cet article un véritable Manifeste contre le terrorisme.
Extrait:
«Que faut-il donc faire? Affirmer collectivement, haut et fort, notre engagement ferme à lutter sans relâche contre la violence et la terreur, d'où qu'elles viennent. Ce qui implique, de la part de nos voisins américains, de renoncer à l'unilatéralisme qu'a jusqu'ici privilégié la nouvelle administration Bush pour s'engager résolument dans une approche multilatérale, non seulement quand cela fait son affaire comme dans le dossier du terrorisme, mais dans l'ensemble de sa politique internationale.
Être cohérents dans nos interventions politiques et cesser d'appliquer la politique des deux poids, deux mesures (en particulier à l'égard du respect des droits humains, du régime de droit ou des résolutions des Nations Unies, comme à l'égard d'Israël, de la Chine, de l'Afrique, etc.).
Prioriser la lutte contre les causes profondes du terrorisme: tout ce qui contribue à diminuer les injustices politiques, économiques ou sociales, contribue directement à faire baisser la pression terroriste et appauvrit le terreau où germe la culture terroriste. Ça ne réglera pas tout, mais la prévention est toujours le meilleur remède à la maladie.
Privilégier au maximum l'éradication du terrorisme et la mise hors d'état de nuire des individus terroristes par la répression judiciaire et la règle de droit: application sévère des moyens, actuels et à venir, du droit criminel national et international, restriction éventuelle de certains de nos droits et libertés actuels au service d'une meilleure protection collective, etc. Comme envers tous les crimes, il faut apprendre à réprimer efficacement les comportements dangereux ou inacceptables sans pour autant démoniser les personnes qui agissent ainsi: car nous n'y gagnons rien, et cela nous détourne des vraies causes et sources de ces comportements.
Commencer à sortir de notre suffisance et de notre bon droit héréditaire pour nous ouvrir aux réalités différentes de l'Autre. Nous autres, Occidentaux, avons l'habitude de nous considérer spontanément comme le centre du monde. Il est urgent d'apprendre à voir le monde avec les yeux de l'autre, d'apprendre à marcher, pour un instant au moins, dans les pas de l'autre. Cela est une condition essentielle pour comprendre des mentalités ou des cultures différentes, pour développer une tolérance authentique et pour créer les conditions d'une coexistence et d'une paix possibles.
Renoncer à la logique de force et de violence pour redresser les torts et imposer notre justice. La force et la violence n'ont jamais corrigé durablement les problèmes et n'ont toujours, au mieux, procuré que des victoires apparentes ou temporaires, quand elles ne se sont pas révélées un remède pire que le mal. Les guerres du XXe siècle l'ont abondamment démontré, la Guerre du Golfe n'en étant que l'une des plus récentes illustrations. Il est grand temps, comme nous y invitent les Nations Unies à l'occasion de ce début de troisième millénaire, de développer une culture de la non-violence comme une des meilleures garanties de la paix.
Contribuer, par chacun de nos gestes, paroles ou attitudes, à construire un peu plus de paix, de justice et d'espérance. Chacun et chacune de nous contribue, mille fois par jour, à améliorer le monde ou à le détériorer, à le rendre plus ouvert, plus tolérant et plus vivable, ou au contraire plus individualiste, plus compétitif et plus menaçant. La lutte nécessaire contre le terrorisme passe bien sûr par les États, mais elle s'enracine tout autant en chacun de nous, à travers nos innombrables choix quotidiens. Puissions-nous être chaque jour de ceux et celles qui contribuent davantage à la dynamique de vie qu'à la logique de mort !»
http://www.culture-et-foi.f2s.com/critique/terrorisme_represailles.html

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