Quelques généralistes inspirants - par leur pratique, leur militantisme, leurs écrits

Pierre Biron

Introduction

Des praticiens de premier recours peuvent aussi être écrivains, humanistes, militants. Leurs blogues, leurs engagements sociaux, leurs livres font la critique d’une médecine technicisée et bureaucratisée qui perd ses points de repère. Ces généralistes éloquent et témoins privilégiés de la vie y affirment ainsi leurs convictions personnelles. Ils pratiquent et promeuvent une médecine de soins primaires mieux valorisée, humanisée, et exercée avec retenue dans ses interventions techniques.

Avertissement

Espérant leur faire découvrir des écrits et des activités qu’ils ne connaîtraient pas déjà, les collègues sont priés d’excuser de nombreuses omissions, incluant celle de ces médecins spécialistes qui eux aussi valorisent les soins primaires. Les exemples cités ont été glanés au fil de ma veille documentaire de la scène médico-pharmaceutique où les idéologies, le pouvoir, l’argent ou la facilité antagonisent la rationalité et l’humanisme dont les malades ont besoin. Les réalisations présentées sont limitées aux plus représentatives.

Bien sûr il faudrait ajouter ceux qui publient dans les bulletins thérapeutiques, luttent contre la publicité trompeuse, animent des formations indépendantes, promeuvent la protection contre l’iatrogénie, encouragent la « déprescription », sont médecins « de rue » ou « sans frontières », dénoncent la privatisation des soins, touchent aux médecines alternatives utiles ou critiquent les dérapages d’une pensée dominante alimentée par des meneurs d’opinion en conflits d’intérêts.

ILS SONT FRANCOPHONES

Gilles Bardelay cofonde avec son épouse pharmacienne Danielle, à Paris en 1981, la revue Prescrire, chef de file de l’International Society of Drug Bulletins. Financée par ses abonnés, elle est vouée à une formation continue militante et indépendante, surtout des généralistes et des pharmaciens, ainsi qu’à l’évaluation rigoureuse des nouveautés. La revue n’a pas d’équivalent, même en anglais, pour l’étendue de la couverture des situations diagnostiques, thérapeutiques, pédagogiques et éthiques rencontrées en médecine générale et en pharmacothérapie ; sa liste noire des médicaments est particulièrement prisée à l’international. Après plus de deux décennies à sa tête, Bardelay se retire à Francheval en Ardennes où le couple promeut le théâtre local. À Paris Bruno Toussaint est maintenant directeur éditorial ; Christophe Kopp fait de même pour la version anglaise Prescrire International, en plus de soutenir l’International Society of Drug Bulletins.

Serge Mongeau passe du stéthoscope en banlieue peu favorisée de Montréal, à la plume comme éditeur et écrivain engagé, dont La simplicité volontaire, plus que jamais ; Moi ma santé ; L’Écosophie ou la sagesse de la nature. Il cofonde Écosociété, dédiée à l’écologie sociale. Cette maison d’édition d’allégeance altermondialiste et anti-néolibérale, avec ses plus de 275 titres, ne craint pas l’affrontement même devant les tribunaux avec les mondiales de ce monde, qui exploitent les moins nantis. Harmonia Mundi en est le distributeur européen. Mongeau continue à promouvoir et à pratiquer la simplicité volontaire.

Philippe Foucras, alors formateur généraliste en milieu défavorisé dans le Nord de la France en 2004, lance le collectif Formindep pour une formation indépendante en santé, devenue association d’intérêt général financée par abonnés et dons. En 2010 les pressions exercées par cette association sur la Haute Autorité de Santé (HAS) obtiennent l’abrogation de directives jugées biaisées sur le traitement du diabète type 2, et en 2011 le retrait de recommandations sur le traitement de l’Alzheimer, jugées insatisfaisantes pour motif d’élaboration contraire à la législation et aux règles internes de gestion des conflits d’intérêts de la HAS. Après avoir œuvré comme médecin du travail, il exerce maintenant comme généraliste au sein d’un hôpital psychiatrique dans la Nièvre.

Jean-Claude Grange alias Docteurdu16, de Mantes-la-Jolie, anime le blogue De la médecine générale, seulement de la médecine générale. « Les généralistes constituent le groupe professionnel le plus important en santé publique d’un point de vue économique, médical et social. La médecine générale manque pourtant de reconnaissance, elle n’est pas assez enseignée, elle ne fait pas l’objet d’assez de recherches, elle ne reçoit pas assez de ressources »

Marc Zaffran alias Martin Winkler, de médecin en région en France particulièrement soucieux de la santé des femmes, devient rédacteur à la revue Prescrire, romancier prolifique (dont La Maladie de Sachs et Les trois médecins), essayiste (dont Le Patient et le médecin), vulgarisateur, traducteur, journaliste médical et animateur du Winkler’s Webzine. Ses critiques de l’industrie et de ses publicités outrancières lui aurait valu un congédiement des lignes de France Inter en 2003. Cet auteur à succès que tous connaissent a délaissé le stéthoscope et habite maintenant à Montréal.

Nicole Audet, de Montréal est l’auteure de livres éducatifs et inspirants destinés aux enfants (collection Félix et Boubou..) et leurs familles, dont le livre à succès Votre Guide Santé Info. Pédagogue et vulgarisatrice médicale, elle publie des ouvrages moult fois primés ici et ailleurs : ainsi a-t-elle reçu le prix Prescrire du meilleur livre médical et pharmaceutique (pour Épidémiologie appliquée) et plusieurs médailles aux salons du livre de Miami et de Las Vegas.

Claude de Bourguignon, généraliste de terrain en France et retraité depuis peu, cosigne Sauver le médecin généraliste, ouvrage qui « dresse un état des lieux et n’élude aucune difficulté et formule des solutions novatrices pour une médecine exigeante et humaine, science et art de soigner chaque malade de façon personnalisée… Homme ou femme de science et de confiance, dévoué et disponible pour chaque malade, le généraliste est le pilier et l’avenir de la médecine, un enjeu majeur pour la société et une raison d’espérer pour le malade… Le médecin généraliste qui écoute est une perle, celui examine vaut de l’or, celui qui explique est un trésor et celui qui optimise les traitements est un sage ».

Jean-Pierre Vallée de Colleville-Montgomery dans le Calvados, fut le rédacteur en chef fondateur de Médecine, revue militante et indépendante de médecine générale qui se passe de présentation ici et qu’il a bonifiée au fil des ans de ses nombreuses chroniques aussi édifiantes qu’inspirantes pour les omnipraticiens. Sa retraite est regrettée mais ses successeurs à la rédaction reprennent le flambeau.

Jean-Marie Therrien exerça en milieu rural à Windsor au Québec et en décryptant la littérature devint un cholestérolo-sceptique averti et convaincant dans son livre Une Histoire inventée consacré à la démolition de l’hypothèse lipidique et de l’usage irrationnel des statines.

Dominique Dupagne de Paris, essayiste dans La Revanche du rameur, fonde et anime le site Atoute.org spécialisé dans la santé et les forums médicaux. Les articles du site attirent jusqu’à 60 000 lecteurs par mois et les forums de 500 à 750 000, signe que l’animateur sait rejoindre les membres de la profession et ne craint pas d’aborder les sujets controversés de l’heure en France.

Claudina Michal-Teitlebaum de Lyon est l’auteure de Faut-il vacciner mon enfant ? Elle plaide activement sur de nombreux médias (dont #MartinFierro) pour une pratique à l’abri des influences intéressées et pour la rigueur dans l’évaluation des vaccins.

René Lavigueur fonde à Sainte-Anne-des-Monts au Québec un centre de pédiatrie sociale en région éloignée défavorisée et s’efforce de pratiquer la médecine de façon humaniste et lucide en évitant la surmédicalisation et en résistant à l’influence des promotions, des dogmes et des conventions, quitte à indisposer quelques collègues. Il ne se lasse pas d’écouter les patients raconter leur histoire et d’entretenir avec eux cette relation magique soignant-soigné qui s’installe quand on apprend à bien les connaître.

Marc Jamoulle exerce 40 ans à Gilly dans les faubourgs de Charleroi en Wallonie, rédige L’Éthique d’un médecin de famille, se fait l’ardent promoteur de la protection contre l’iatrogénie, qu’il surnomme « prévention quaternaire », et contribue généreusement à l’Association mondiale des médecins généralistes (WONCA) et à sa colossale Classification internationale des soins primaires, d’où son livre Terminologie multilingue de médecine générale et de famille publié en 4 autres langues.

Jean Désy de la ville de Québec visite durant 4 décennies le Grand Nord pour soigner des autochtones. Poète, philosophe et professeur de littérature, on lui doit L’Accoucheur en cuissardes. « Quand on voit quelqu’un dans notre cabinet, c’est une âme qu’on reçoit… je ne comprends pas comment on peut recevoir un patient sans jamais lever les yeux de son ordi… »

Philippe de Chazournes pilote depuis Saint-Denis à La Réunion le mouvement Med’Océan dédié à la qualité, l’évaluation et la recherche en médecine générale ; il n’hésite pas à confronter les autorités françaises quand elles font preuve de laxité en matière de médicaments ou de coercition en santé publique, que ce soit au sujet de Gardasil ou encore à la récente Obligation vaccinale qu’il ne juge ni opportune, ni justifiée, et au maintien du secret médical, de plus en plus à la merci des lobbyistes industriels ou assurantiels. Il participe aux échanges pluri-professionnels pour améliorer la démarche qualité pour le patient grâce aux travaux entre « pairs » et en toute indépendance.

Christian Lehmann de Poissy dans les Yvelines est romancier, essayiste et blogueur. Après une vingtaine de livres et plus de 30 ans d’exercice de la médecine, il s’inquiète de l’avenir de la médecine générale que les décideurs en santé ne semblent pas comprendre. Selon lui, il faut batailler pour faire admettre que la médecine générale est quelque chose de complexe et qu’il faut avoir les moyens de la pratiquer, à l’abri de l’industrie pharmaceutique et des délires réglementaires engendrés par une bureaucratie qui s’alourdit continuellement.

Isabelle Leblanc a remplacé Marie-Claude Goulet à la présidence de Médecins québécois pour le régime public ou MQRP (Montréal), branche provinciale de Médecins canadiens pour le régime public (Toronto, Ontario). Au pays le régime public est érodé et continuellement menacé par des intérêts particuliers tant commerciaux que gouvernementaux et professionnels; tenu à bout de bras par quelques centaines de membres, ce groupe de pression qui évoque David contre Goliath est une voix médicale à contre-courant dont on ne peut se passer pour limiter les dégâts d’une privatisation insidieuse tolérée par l’establishment médical et politique.

OU ALLOPHONES

Juan Gérvas, praticien rural espagnol retraité devenu « résistant civil » en santé publique, contribue à la formation indépendante des généralistes dans les structures Escuela Nacional de Sanidad, Equipo CESCA et NoGracias à Madrid et n’hésite pas à contester publiquement les politiques de santé contraires à l’intérêt commun, notamment en matières de vaccination et de « statinisation », ni de dénoncer les intérêts particuliers qui sous-tendent la laxité méthodologique en recherche clinique.

Dirk van Duppen, praticien flamand urbain à Médecine pour le peuple (Deurne à Anvers), signe La Guerre des médicaments : Pourquoi sont-ils si chers ? où il dénonce  la flambée des prix et la complicité des autorités. Il défend le modèle Kiwi inspiré de la Nouvelle-Zélande dont un système d’appel d’offre est un volet, en vue de réduire sensiblement le prix des médicaments .

OU ANGLOPHONES

Edward Napke, ce néocanadien d’origine libanaise accepte en 1965 de fonder à Ottawa (Ontario) le premier Programme canadien de pharmacovigilance qu’il dirige jusqu’en 1989. Il implante avant l’ère de l’informatique un système manuel (pigeon hole) de classification des notifications spontanées. Il conseille et visite régulièrement le Centre mondial de pharmacovigilance de l’OMS (Uppsala Monitoring Center en Suède), le sensibilise aux effets indésirables des excipients et y forme un panel d’évaluation des signaux. Son intégrité sans compromis n’est pas appréciée de ses supérieurs mais sa passion au travail et 4 décennies de militantisme en santé publique lui valent le respect de tous. On le surnomme Dr Safety, l’OMS lui rend hommage en publiant A Lifetime in Safety en 2011 et s’il n’a pas reçu l’Ordre du Canada, c’est parce qu’il dérangeait. La proximité croissante entre l’Agence du médicament et l’industrie désole profondément celui qui fut mon mentor en pharmacovigilance.

Petr Skrabanek, exilé tchèque à Dublin (Irlande), y devint un généraliste et un talentueux écrivain contestataire, dont La Fin de la médecine à visage humain (et l’arrivée du santéisme coercitif, dans la version originale du titre) et Idées folles, idées fausses en médecine sont bien connus. En plus d’être bien écrite, sa vive critique de l’hygiénisme occidental contemporain ne laisse personne indifférent.

Mark Abramowicz de New Rochelle (NY, É.-U.) préside le comité de rédaction de la Medical Letter on Drugs and Therapeutics fondée en 1959 par un ingénieur et un interniste alors qu’il n’y avait pas dans ce pays de bulletin indépendant des firmes et financé par abonnements. On la diffuse maintenant dans une centaine de pays, et il y a des versions française et italienne. Son organisation à but non lucratif publie des manuels comme Drugs of Choice, en plus d’être accréditée en formation médicale continue. Qu’on me pardonne la narration de deux souvenirs personnels : Abramowicz se laisse convaincre en 1977 de produire une version-adaptation canadienne-française distribuée durant deux décennies aux pharmaciens du Québec grâce à leur Ordre ; en 1986 son organisme apporte une aide matérielle à la mise en œuvre du Programme conjoint de pharmacovigilance du Québec.

Malcolm Kendrick est écossais et demeure à Macclesfield au Royaume-Uni. Conférencier, cholestérolo-sceptique, il écrit dans un style enlevant et humoristique Doctoring Data et The Great Cholesterol Con pour contester plusieurs dogmes qui sous-tendent la surmédicalisation, et dénoncer les dérives de la médecine factuelle, ainsi que l’arnaque du cholestérol. C’est peut être son écriture dans un style familier « très écossais » qui rebute les traducteurs à nous livrer des versions françaises pourtant souhaitables. 

Margaret McCartney de Glasgow, blogueuse, chroniqueuse au BMJ, c’est à son livre The Patient Paradox : Why Sexed-Up Medicine Is Bad For Your Health qu’on l’identifie le mieux. Cette Écossaise utilise plusieurs médias pour discuter de toutes les embûches actuelles associées à la pratique de premier recours, notamment les recommandations cliniques produites sous influence mercantile mais endossées par les autorités sanitaires.

Richard Lehman de Banbury, Oxfordshire au Royaume-Uni promeut la médecine factuelle appliquée aux soins primaires. Il enseigne la prise de décision en médecine familiale tant à Oxford que dans le BMJ et analyse systématiquement la littérature médicale durant deux décennies sur son blogue et dans ses articles. Sa retraite imminente sera regrettée par ses lecteurs.

Derelie (Dee) Mangin est une généraliste néo-zélandaise émigrée à Hamilton (Ontario) au Canada où elle enseigne la médecine générale ; elle est cofondatrice de RxISK, un blogue de pharmacovigilance indépendant destiné tant aux professionnels qu’aux consommateurs, où l’on dénonce fermement la promotion pharmaceutique sous toutes ses formes, l’abus des psychotropes et la polypharmacie chez les aînés.

Peter Mansfield, de Sidney en Australie, fonde et gère Healthy Skepticism, un observatoire de la publicité pharmaceutique trompeuse nuisible à la santé et au budget de chacun. Les milliers de références de cette veille documentaire sont accessibles à des abonnés disséminés dans 215 pays. Cet organisme de publivigilance à but non lucratif a absorbé No Free Lunch. Desmond Spence, écossais de Glasgow, un promoteur de No Free Lunch, passe ses messages édifiants et influents dans des chroniques très appréciées dans le BMJ et dans Pulse.

Warren Bell pratique 40 ans,  cofonde l’Association canadienne des médecins pour l’environnement et cofonde aussi la Wetland Alliance: The Ecological Response. Communicateur engagé en politiques de santé et analyste pointu des méfaits de la corruption médico-pharmaceutique sur les guides de pratique destinés aux généralistes, il promouvoit l’importance d’un lien personnalisé et préfère aux psychotropes la psychothérapie de premier recours. Administrateur chez PharmaWatch Canada et chroniqueur au National Observer, son style bien ciselé trahit sa formation en littérature alors qu’il explique l’importance de l’écologie en santé publique. Il est précepteur rural de l'Université de la Colombie Britannique.

Julian Tudor Hart, praticien en milieu défavorisé (Glyncorrwg, West Glamorgan, pays de Galles), est à l’origine de la « Règle des soins inversement proportionnels aux besoins » ou Inverse Care Law qui exprime bien l’écart dans l’accès aux soins dont souffrent à la fois les pays peu avancés et les populations moins nanties en pays développés.

John David Abramson généraliste à Ipswich aux États-Unis a été plusieurs fois classé parmi les meilleurs au Massachussetts, enseigne à Harvard la médecine familiale et les politiques de santé, mais c’est son livre à succès Overdosed America sur la surmédicamentation qui le fait connaître à l’international.

Iain Bamforth, d’origine écossaise (Glasgow), pratique maintenant à Strasbourg. Poète, il édite The Body in the Library, tour d’horizon philosophique et édifiant de la médecine et de ceux qui la pratiquent. Ce critique littéraire pour le Times et le New York Times a traduit Dr Knock de Jules Romain et nous en a livré une fine analyse, Knock: a study in medical cynicism, publiée dans le BMJ.

Iona Heath de Londres signe le livre The Mystery of General Practice et Family Medicine : The Classic Papers. Cette praticienne urbaine devient chroniqueuse au BMJ, conférencière appréciée à tel point qu’on la surnomme la « Grande dame de la médecine générale ». Elle n’a de cesse de dénoncer les dérives d’une médecine préventive qui détourne les fonds publics des pauvres vers les riches et ne cesse de rappeler que le généraliste est mieux placé pour établir une véritable relation avec la patientèle et « personnaliser » les soins au sens non dévoyé du terme. Son influence dépasse les frontières et ses chroniques valent plus que le détour. Elle mériterait une « Pilule d’Or ».

Conclusion

Quels que soient leurs modes d’expression, ils et elles ont quelque chose à nous dire. Cela dit, bien écrire n’est pas plus noble que bien pratiquer, et donc chapeau-bas à ceux et celles qui jouent leur rôle de soignant pour les malades, n’importe où, n’importe quand et aussi longtemps que nécessaire pour toujours répondre aux besoins les plus pressants.

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Pierre est l'auteur de l'Alter dictionnaire médico-pharmaceutique bilingue.

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