Croquis laurentiens

Marie-Victorin
Voici dans leur intégralité les Croquis laurentiens, du frère Marie-Victorin.
TABLE DES MATIÈRES

PRÉFACE, par M. Ernest Bilodeau

I. LONGUEUL
LE VIEUX LONGUEUIL
LA TRAVERSE
QUE PENSEZ-VOUS DE LA GLACE?

II. AU SEUIL DES LAURENTIDES
LE VILLAGE QUI MEURT
LA MONTÉE DU CIMETIÈRE
LA NEUVAINE
LE ROCHER ERRATIQUE

III. LES COLLINES MONTÉRÉGIENNES
LA MONTAGNE DE BELOEIL
LE LAC SEIGNEURIAL DE SAINT-BRUNO
SUIS ALLÉ AU BOIS!

IV. LA CÔTE SUD
LE LAC DES TROIS-SAUMONS
LE ROCHER PANET
LA POINTE-DES-MONTS

V. LE TÉMISCAMINGUE
LE LAC TÉMISCAMINGUE
VILLE-MARIE
MAIAKISIS

VI. L'ILE-AUX-COUDRES
LA CROIX DE L'ISLETTE
LE COUCHANT
LE PETIT LAURENT

VI. ANTICOSTI
LA POINTE-AUX GRAINES
PROFILS D'ANTICOSTIENS
LA BAIE SAINTE-CLAIRE

VIII. LES ÃŽLES DE LA MADELEINE
LES MADELINOTS
LE HAVRE-AU-BER
L'ÉTANG-DU-NORD
LE HAVRE-AUX-MAISONS
LA GRANDE-ENTRÉE
LA GROSSE-ISLE
BRION

IX. TROIS CHANSONS
LA CHANSON DES LIARDS
LA CHANSON DES ORMES
LA CHANSON DE LA NEIGE

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Du même auteur. Voir également Croquis laurentiens, texte intégral.

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LA CHANSON DES LIARDS ILorsque l'hiver a banni les oiseaux, éteint la chaude lumière des fleurs et la voix claire des ruisselets, à côté des dômes dépeuplés des ormes, vous nous restez, liards, réfugiés dans un silenc

Les Madelinots
Parmi les groupes français disséminés sur la terre d'Amérique, il n'en est guère, je crois, d'aussi intéressant, d'aussi nettement caractérisé, d'aussi sympathique et d'aussi peu connu que celui des Madelinots - ne pourrait-on pas désigner ainsi les habitants des Iles de

Les collines montérégiennes
Au temps effroyablement lointain où l'humanité ne vivait encore que dans la pensée de Dieu, où notre vallée laurentienne était un bras de mer agité de tempêtes, une suite d'îlots escarpés émergeaient, comme d'immenses corbeilles de verdure, sur l'eau déserte et b

Le Vieux Longueuil
Si vous aimez à vous caresser les yeux des nuances fanées du passé, et si l'âme des choses révolues parle à la vôtre, hâtez-vous de contenter ce caprice d'un autre âge avant que, happées par les concasseurs, les dernières pierres des dernières vieilles maisons n'

Le lac des Trois-Saumons
La montée est rude, mais la forêt merveilleusement belle. Les arbres, gros et droits comme des mâts, couvrent un flanc de montagne qui regarde SAINT-JEAN-PORT-JOLI, et ou viennent se résoudre en pluie, les brumes balayées par le nord-est de dessus la face des eaux. Les pieds des ÃÂ

Le lac Témiscamingue
Quand ils passaient dans leurs longs canots d'écorce, ces hommes de fer qui s'appelaient Chevalier de Troyes, Jacques de Sainte-Hélène et Le Moyne d' Iberville, - poussés vers le nord mystérieux par la fièvre bien française des glorieux coups d'épée - je songe que ce paysa

Le Havre-aux-Maisons
J’admire ce nom qui, tout simplement raconte une origine. Il est clair, en effet, qu'à une certaine époque, de tous les havres de l'archipel, celui-ci seul avait des résidents, d'où: Havre-aux-Maisons. Tandis que les Anglo-Saxons n'ont pu trouver pour leurs établissements qu

Le Havre-au-Ber
D’énormes émeraudes de conte oriental, serties dans des rubis et reliées entre elles par des chaînes d'or, un archipel égéen jeté là pour animer l'effrayante solitude du Golfe, telles me sont apparues, dés le premier jour, les Iles de la Madeleine, et telle est l'opu




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