On sait le mal que l'alcool fit au Amérindiens. Voici ce que l'un d'entre eux en disait:
«Un Ontaouais nommé Jean Laplaque, grand ivrogne, interrogé par le gouverneur général de quoi il croyait que se faisait l’eau-de-vie, dont il était si friand, dit que c'était un extrait de langues et de cœurs; car, ajouta-t-il, quand j'en ai bu, mon cœur est sans crainte, et ma langue parle cent fois mieux».
Beautés de l'Histoire du Canada. Source:E. Z. Massicotte, Anecdotes canadiennes, Librairie Beauchemin, Montréal, 1913 (domaine public)
Présentation de Balzac lui-même :
LA QUESTION POSÉE
L'absorption de cinq substances, découvertes depuis environ deux siècles et introduites dans l'économie humaine, a pris depuis quelques années des développements si excessifs, que les soc