«Son œuvre littéraire se centre essentiellement sur l'Autre. Il se soucie de justice sociale, porte secours aux pauvres, propose des solutions au chômage, aborde les thèmes de la science, du mariage, de l'éducation sexuelle... Mais la pensée de Zundel est jugée trop singulière. Exilé, il écrit et mène, pendant plus de trente ans, une vie de prédicateur itinérant qui le conduit à Paris, à Londres, au Liban, à Jérusalem. Conseillé par son ami, Louis Massignon, il se rend au Caire et assume divers ministères, découvre les mystiques musulmans et s'émerveille devant Hallâj.» (Pascale, sur Fraternet.com)
Voici deux témoignages de Maurice Zundel sur la beauté. Il nous reste à trouver la source du second mais on ne saurait douter qu'il est de lui quand on le compare au premier, que voici :