« Le grand temps de la philosophie »
Lorsque dans la profonde nuit d’hiver une violente tempête de neige déchaîne ses rafales autour du chalet, recouvrant et dissimulant tout, c’est alors le grand temps de la philosophie. C’est alors que son questionnement doit devenir simple et essentiel. L’élaboration de chaque pensée ne peut être que dure et tranchante. L’effort que requiert la frappe des mots est semblable à la résistance des sapins se dressant contre la tempête de neige.