L'art brut a servi à qualifier des productions marginales et atypiques, mais douées de vie artistique. Si certains l'interprétèrent comme une sorte d'art primitif au cœur même de notre civilisation moderne, en tant qu'il subvertit l'art établi
Commentaire de la première traduction française de La nature du rythme, Ludwig Klages, préfacé et traduit par Olivier Hanse, éd. L’Harmattan, 2004, 116 p., 11,80 €.