Les lois deshommes, leurs ordres et leurs défenses, n'ont pas la puissance de nous prescrire le bien et de nous détourner du mal; celle puissance, non seulement elle existait avant qu'il y eût des peuples et des États, mais elle est contemporaine
Il faut y mettre de l’agrément et fuir l’obstination. Surtout que personne ne s’empare de la parole comme d’un terrain qui lui appartient, et n’essaye d’en exclure les autres. Il est bon qu’en cela, comme dans tout le reste, chacun ait