Patrick Dionne
Une critique favorable au livre Après l'homme... le cyborg? de Jacques Dufresne.
Jacques Dufresne
Le mal n'est pas d'abandonner l'homme à lui-même et à sa liberté mais de vouloir absolument le transformer en quelque chose de mieux.
Jacques Dufresne
Typiquement amércain en cela, Mumford a été pendant la plus grande partie de sa vie plus optimiste que Spengler ou Ellul pour ce qui est des rapports de l'homme avec la technique. Il a cru que l'homme pourrait la remettre à sa place. À la fin de
Serge Bouchard
Une allégorie sur la vieillesse où par une inversion dont cet anthropologue a le secret, la vieille machine, parce que son propriétaire l'aime, semble avoir une fin de règne plus humaine que celle des êtres humains qui s'éteignent loin de tout
Jules Michelet
Bien des historiens du travail ont repris de longs passages de ce texte où sont décrits les servitudes de l'homme à la machine et le contraste entre le tisserand solitaire qui trouvait le temps de rêver et l'homme de la manufacture soumis au ryth
Roger Caillois
En 1965, dans le cadre des Entretiens de Genève, eut lieu un colloque mémorable intitulé Le robot, la bête et l'homme. Entre autres, Jacques Monod, Ernest Ansermet, Vercors, Roger Caillois, le R.P. Henri Niel figuraient parmi les conférenciers.